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    Sanjuan Chelin Piquero, est née le 1 mai 1967, à Saragosse, en Espagne.


     Ses parents ont émigré au Chili où elle a vécu pendant cinq ans ,puis au Venezuela, ou elle résidera jusqu'en 1987, Elle est retournée en Espagne pour aller à l'Université des Beaux-Arts de Barcelone.

    En 1992, elle retourna dans sa ville natale ou elle a ouvert un atelier de peinture qui se consacre à l'enseignement pendant 11 ans, combinant cette activité avec de multiples et individuelles expositions collectives.  


    Elle vit actuellement à Valence, en Espagne.

     

      L'art de Chelin Sanjuan est particulièrement remarquable pour sa technique méticuleuse, le dessin propre, ferme et sûr d'une ligne, tandis que l'utilisation dynamique de la couleur fait une approche équilibrée et sereine, qui a tendance à réchauffer les couleurs .

    Il se déroule naturellement la peinture des lignes plus réaliste , plus imaginative et surréaliste car chaque tableau est un univers unique, magique, intime, avec des objets cachés et des formes transparentes qui s'intègre nt harmonieusement. 
     

      On peut définir la peinture de Chelin Sanjuan comme une sorte de réalisme magique et de surréalisme .
    Dans ses oeuvres,elle évoque le monde à travers une fantaisie où vivent les mystères de la vie réelle. elle récupère le sens premier des choses par des allégories : il y a une possibilité infinie de signifier les choses. Avec des thèmes oniriques, animaliers, féminins..."Stimuler le regard, l’émouvoir par une présence évocatrice, par un impact visuel sur les sentiers de l’imaginaire"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Sur une toile de Chelin San Juan

    Ce texte a été écrit par Armando Ribeiro, et a été publié, une première fois, dans le jardin de Lalli,

      dans “En vos mots”, le 1 décembre 2007.

     

     

     

     

     Il venait de lire sa lettre.

    C’est curieux comme certaines choses vous touchent à un point

    où vous avez du mal à lever la tête.

    Et pourtant il ne lui avait jamais rien promis. Si. D’être honnête et ne jamais lui mentir,

    mais apparemment ça ne lui avait pas suffi.

    Le regard suspendu a quelques souvenirs, il avait du mal à croire ce qu’il lisait.

    Surtout qu’il avait perdu toutes les peurs et était gonflé de cette certitude qu’entre eux,

    il n’y aura jamais tous ces mots mesquins qui blessent, ni qui noient tout espoir de bonheur.

    Il était certain qu’elle était son âme sœur.

    Cet autre pour qui les mots n’ont pas de secrets, avec qui tout est partagé,

    parce qu’ils sont seuls et parce qu’ils sont pareils.

    Il se souvient de son regard qui lui murmurait qu’il caressait son visage avec une infinie tendresse.

    Qu’aucun homme ne lui avait jamais fait cela.

    Et ça lui serre le cœur davantage. Lui qui a toujours cru à la tendresse des choses.

    Lui qui a toujours voulu laisser un sourire, un bien-être de son passage. Rien d’autre.

    Il venait de lire sa lettre. Il savait que désormais il serait encore plus seul qu’avant.

    Il se dit que la vie est vraiment bizarre. Personne ne veut vraiment de son amour.

    Et pourtant, il a tellement à donner.

    Il lève les yeux… et l’illusion de voir Kiki Pagne, assise à lire un livre, paisiblement,

    lui donne l’envie d’aller l’entourer de ses bras. Mais il ne fera pas.

    Il ne voulait pas lui montrer ses larmes. Puis, il faut savoir partir dignement.

    Il n’a plus rien a faire ici. La vie l’attend déjà ailleurs…

     

     

     

     


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  • Hey Jude,  des Beatles

     

     

     

    Hey Jude, des Beatles

      

    L'histoire d'un titre phare !

     

     Hey Jude qui appartient au registre des BEATLES et qui date de l’année 1968.

     Le 45-tours de Hey Jude, sort en août 1968 et devient un énorme succès,

    réalisant au passage la plus grosse performance commerciale des BEATLES,

     puisqu‘il avait atteint les 5 millions de vente.

     

    Situons le contexte :

     

    Eté 68, John Lennon officialise son idylle avec Yoko Ono, en s’installant avec elle, et au passage, il met un terme à son mariage avec Cynthia avec qui il a eu un fils :

     

     

     

    Julian alors âgé tout juste de 5 ans. Paul McCartney avait beaucoup d’affection pour Julian et réciproquement, à telle enseigne que, d’après Julian Lennon lui-même, Paul était plus proche de lui que son propre père. Il avoua même dans une interview qu’il y a bien plus de photos de lui en train de jouer avec Paul McCartney, qu’avec son père, John Lennon.

     

     


    Et justement, c’est cette affection entre Paul et Julian fils de Lennon qui fut à l’origine de Hey Jude. En effet, alors qu’un jour McCartney était en chemin dans sa voiture pour rendre visite à Julian, alors séparé de son père, il commença à fredonner une nouvelle mélodie avec comme refrain «Hey Julian», qu’il transforma après en «Hey Jules, don’t make it bad/ Take a sad song and make it better».

     

    Le temps d’arriver chez Julian et sa maman, il avait écrit toute la chanson, à travers laquelle, il cherchait à réconforter Julian, délaissé par son père.

     Par la suite, en studio, les Beatles changèrent «Hey Jules» par «Hey Jude»,

     parce que ça raisonnait mieux.

     

    Mais le plus drôle dans cette histoire, c’est que John Lennon a toujours pensé que les paroles de cette chanson lui étaient dédiées par Mc Cartney. En effet, selon les croyances de Lennon, «Jude» renvoie à «John» et les paroles reflètent l’acceptation de Mc Cartney de la fin de sa complicité avec lui et de facto, la fin des Beatles

     

    Une fois qu’on connait l’histoire de cette chanson,

     on ne l’écoute plus désormais de la même manière.

     

    RAdio Mars

     

      

      

      

      

      

    Hey Jude

     

    Paul McCartney , Elton John, Eric Clapton,

    Sting, Phil Collins, Mark Knopfler, Lyrics Pual 

     

     

     


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